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Après la bouse d'éléphant: Chris Ofili Chris Ofili: Un couple d'années après avoir remporté le prix Turner 1998, Chris Ofili était dans Atlantis magasin d'art dans l'East End de Londres, l'achat de grandes quantités de peinture et tenant une file d'attente. Quand il a remis sa carte de crédit, le caissier a reconnu son nom et a frappé une conversation à propos de son travail. Un étudiant debout derrière Ofili a ensuite rejoint avec une certaine excitation. Ofili était ravi. Ofili, 41, a toujours lutté avec succès. Non réalisation. Pour cela, il a travaillé dur et, contrairement à la plupart des jeunes artistes, ses efforts ont été récompensés presque immédiatement. Avant il était 30, son travail a été exposé sur trois continents, y compris des spectacles en solo à Londres, New York et Berlin, il était à Charles Saatchi pour ne nommer que quelques-uns. A la fin de ce mois, Tate Britain sera mis sur une rétrospective de mi-carrière, présentant une sélection de son travail jusqu'à présent. Mais il est la renommée qui vient avec ce succès Ofili a trouvé gênant. Ce point a atteint son apogée en 1999, lorsque son travail a attiré l'attention mondiale après maire de New York Rudy Giuliani a pris ombrage de Ofili Thrust, de manière inattendue, dans l'éblouissement des médias mondiaux, Ofili a décidé de ne rien dire. Le moment est avéré crucial en termes de comment il allait naviguer dans la relation entre son travail, sa renommée et sa vie. Ni stoïque, ascétique ni reclus, Ofili est devenu entraîné par un double désir de protéger son art et sa santé mentale. Vous avez l'impression qu'il a besoin d'être oublié si seulement pour produire un travail mémorable. Il y aurait des périodes relativement longues jachères où il ne serait pas faire des expositions solo depuis plusieurs années. Quand il ne présente, son travail est généralement accueilli avec satisfaction critique qualifiée qui tombe juste en deçà de succès à grande échelle. Pourquoi wouldn Parfois, il semblait être la chose principale debout dans la voie était les signes extérieurs de succès. Il a été invité à être membre de la prestigieuse Académie royale, mais couldn son amant expliqué. il a dit. Ayant fait son nom et une certaine controverse avec la bouse d'éléphant, Ofili pensé qu'il était temps pour obtenir sa merde ensemble. Nous parlons de la véranda à l'extérieur de son atelier, à mi-chemin Lady Chancellor Hill à Port of Spain, Trinité-et-Tobago, où il a déménagé en 2005. Alors que le crépuscule tombe sur les montagnes voisines, les joggeurs et marcheurs de l'immense parc Savannah grimper la colline, signalisation pas un défilé de nouvelles années la famille sont d'Egypte. Il écoute la BBC World Service, montres matches de Premier League et obtient l'édition internationale du Guardian. Alors pourquoi Trinidad? Le fait que ni lui ni son partenaire avait des liens avec le pays était un bonus, car il a un terrain neutre. Il Tout en mangeant le dîner avec sa famille (il a une fille de trois ans et un fils nouveau-né), nous avons entendu les premiers sons du carnaval, que des airs d'une bande de plateau en acier roulé sur le côté de la montagne Cascade Hololo. Une fois que les enfants étaient au lit, nous avons roulé dessus pour voir 10 hommes répéter un seul refrain dans la nuit. S'il est venu à la recherche de l'anonymat, il l'a obtenu. Quand je l'ai dit l'agent d'immigration qui je venais d'interviewer, je devais dire le nom trois fois, et même alors elle écrit. Comme son art, Ofili est une œuvre intrigante en cours. Avec une barbe et quelques taches de gris dans ses cheveux, il ressemble à un jeune, maigre Danny Glover. Son discours est mesuré, sa voix douce avec un lilt Mancunian. Il y a peu à son éducation pour suggérer la vie, il vit maintenant a même été possible, et encore moins probable. Élevé dans une famille de la classe ouvrière à Manchester, il avait peu d'intérêt dans l'art comme un enfant et n'a jamais été à des galeries. Au moment où il était de 20, il avait été à l'étranger qu'une seule fois, au sud de la France par l'entraîneur lors d'un voyage scolaire qu'il a payé pour son papier-monnaie ronde. Il a quitté l'école vouloir être un créateur de meubles, pour apprendre, beaucoup à son mécontentement, qu'il avait à faire un cours de base. Puis vint Chelsea école d'art. Il est apparu sur la scène nationale avec l'aide de deux tailwinds favorables, grâce à la volonté de rebaptiser la Grande-Bretagne après les élections aussi cool et moderne New Labours en 1997. Le premier était artistique. Tout au long de la fin des années 90, les arts sont devenus beaucoup plus populaires et quelques jeunes artistes, tels que Damien Hirst et Tracey Emin, ont commencé à agir comme des stars du rock, ce qui suggère l'aube d'une, dynamique nouvelle génération créative tapageuse. La seconde était raciale. La publication en 1999 du rapport Macpherson sur la mort de Stephen Lawrence a contribué à ouvrir la voie à un bref moment où la différence raciale et ethnique a été ouvertement célébré (avant le 9/11 et le début de la panique morale). Ofili a remporté le prix Turner avec No Woman, No Cry, un hommage à Doreen Lawrence avec un portrait de son défunt fils Stephen dans chaque larme. s White Teeth. La notion que la reconnaissance de la race et le racisme limiterait son appel n'a jamais eu lieu à Ofili. Néanmoins, il a évité la polémique. Il L'exposition contiendra entre six et huit peintures qui ont jamais été vus, et environ un tiers qui ne sont pas affichés en Grande-Bretagne. Il est caractéristique introspective à propos de la rétrospective. Nous sommes assis à Las Cuevas sur Trinidad